Ces nouvelles montures permettent un dialogue entre le boîtier et l'objectif (y compris le doubleur de focale, ou la bague allonge, en macro).

Ces objectifs nouveaux doivent diriger la lumière assez perpendiculairement au capteur, sous peine de vignettage.

Dans le monde Olympus et ses objectifs Zuiko (ou en provenance d'autres constructeurs), l'autofocus et la stabilisation (par déplacement du capteur) fonctionnent quelque soit l'objectif et ses compléments optiques.

Ainsi, la mise au point est choisie par le boîtier qui permet (quelque soit l'objectif) une mise au point mixte entre l'automatisme et le manuel.

Aussi, l'autofocus et la stabilisation sont conservés quelque soit l'objectif utilisé. Par exemple, le petit E-P1 reconnaît complètement le 50mm macro équipé d'une bague allonge, aussi bien que le 50-200mm et un doubleur - alors équivalent à un 200-800mm ancien format

Tous ces objectifs dialoguent avec le boîtier. Les informations échangées entre le boîtier et l'objectif indiquent (au moins)

• la nature de l'objectif
• les distances focales
• les ouvertures (min, max, demandée)
• nature des aberrations géométriqes (corrigées par le boîtier)
• nature des aberrations chromatiques (prises en compte dans certains boîtiers)
• compléments optiques installés
• choix du mode de mise au point
• participation à la mise au point
• version du lociciel embarqué dans l'objectif (nécessité, parfois, de mise à jour du logiciel de l'optique)

Toutes ces propriétés n'avaient pas de sens dans les montures des appareils argentiques. Elles se trouvent dans les montures 4/3 (et micro 4/3).